une étrange maison [ pv ?]

23h25
Une jeune femme, les cheveux se confondant dans la nuit avançait en regardant les noms de rue.De temps à autre elle s'arretait en dessous d'un lampadaire et regardait un papier qu'elle tenait dans sa main.On pouvait y lire :
maison du nénuphard géant,
numéro 6
godric's hollow

Elle continua à regardé les numéro et à avancé en meme temps, quelques minutes plus tard elle le vit enfin. Elle fit apparaitre une plaque ou l'on pouvait voir d'inscrit :
Melle Vénus Parkinson.

Elle s'empara d'un trousseau de clefs caché dans l'une de ses nombreuses poches, deverouilla silencieusement la porte et ré-entra en s'assurant que la porte était de nouveau fermé. Vénus s'autorisa à souffler un instant, elle lança un sort pour vérouiller une seconce fois la porte plus solidement et alla inspecté la maison.
Elle alluma les lumieres et observa un instant l'espace qu'elle avait pour elle seule : deux grandes chambres lumineuses, une salle à manger accollé au salon,une salle de bain avec une petite piscine et un grand grenier pour les expérience de potion,et rangement de vieux souvenirs encombrant.
Sufflant d'avance, elle sortit sa baguette une seconde fois, mit tout ses cartons à terre et les agrandit afin de placer et ranger meubles,vetements et bibelots en tout genre.
Une fois fait, elle se fit un diner vite fait et alla rejoindre ses draps qui n'attendaient plus qu'elle. Avant de s'endormir, elle espera ne pas etre appelé par son maître...

10h05

Vénus se réveilla de bonne humeur,cette nuit elle ne s'était pas fait appelé une seule fois par la marque des ténebres,elle avait dormit d'une traite d'un sommeil réparateur.
Elle ouvrit les yeux,se leva et entra directement dans la douche,puis elle s'habilla légèrement de vetement sombre.Que voulez vous,on est mangemort ou on ne l'est pas meme si ce n'était pas de son plein gré...
Elle sortit de la maison,posa une barriere anti-transplanage sur celle ci et marcha un peu sans but précis dans la rue.Vénus ne savait pas exactement quoi faire seule dans cet endroit,elle observa les maisons alentours : peut etre qu'elle pourrait se servir de ses informations pour son maitre.
Elle continua de flaner,tout en réfléchissant...

Une jeune femme à la longue chevelure avança dans l'ombre. Ses cheveux disparaissaient dans l’ombre, on voyait seulement sa peau blanche et ses yeux bleus. Elle était habillée de noire, une couleur que Pansy adorait. Elle regardait dans quoi sa cousine avait décidé de s’installé. Pansy fut presque dégoûté de voir une ville moldu. Elle savait qu’elle n’aurait pas put vivre dans une telle ville, sans deux ou trois bonnes lignés de sorciers comme les Malefoy. Enfin, une fois qu’on a quitté l’Angleterre pour aller en France, on est capable de tout. Ca avait vraiment déçut Pansy de savoir que sa propre cousine était lâche. Autour d’elle, il n’y avait pas beaucoup de monde dans la ville et le peut de moldu qu’elle croisait lui donnait envie de partir. Mais elle préféra rester, observer les lieux. Connaître les lieux lui serait peut être utile un jour, à elle ou son maître. Elle ne faisait pas confiance à sa cousine pour le repérage des lieux. Et puis, elle était curieuse. Curieuse de savoir ou sa cousine était encore partit. Pansy soupira, en pensant à sa cousine puis continua à avancer, regardant partout autour d’elle. L’air était frais et on pouvait deviner qu’il avait plut la vielle. Les gouttes d’eau tombaient encore des toits, les flaques d’eau sur le sol étaient toujours présentes. Le soleil n’était pas au rendez-vous, il y avait de gros nuage gris dans le ciel. Un léger coup de vent fit son apparition, faisait quelques peut bouger les longs cheveux noirs, soyeux et brillant de Pansy. La jeune femme continua à avancer à petit pas. Puis elle remarqua au loin sa cousine. Elle sentit qu’une dispute allait éclater entre elles, comme souvent. Elle ignorait si Vénus aurait l’audace de lui parler et franchement, ça était égal à Pansy. Elle n’était pas d’humeur à se bagarrer, elle était dans ses pensées et allait essayer de parler avant de sortir sa baguette.

Vénus remarqua au loin une silouette qui lui était familière,mais elle ne sut pas qui était-ce exactement.Plus elle l'observait,plus elle crut reconnaitre sa cousine pansy.Elle ne voulait pas vraiment commencé une dispute maintenant,en pleine rue et puis elle n'était pas d'humeur.Vénus fit comme si elle ne la reconnaissait pas et tournat dans une des rue adjacente à la sienne,elle espérait qu'elle ne ferait pas de scène et qu'un jour tout puisse recommencé comme quand elles étaient petites,et qu'elles s'amusaient sans méchanceté.En attendant elle ne pouvait rentré chez elle tant qu'elle n'était pas sure qu'elle ne risquait aucun danger.

Pansy remarqua le changement de rue de sa ‘ cousine ‘. Elle en déduit qu’elle n’était pas non plus d’humeur à se disputer. Pansy en eut d’ailleurs un petit sourire satisfait, elle considérait qu’elle avait changé de rue pour ne pas devoir l’affronter. Bien sur, Pansy se moquait de savoir si elle ne voulait pas l’affronter par peur ou parce qu’elle n’en était pas d’humeur. Sans une hésitation, Pansy décida de la suivre. Ca faisait longtemps qu’elles ne s’étaient pas vues. Depuis que sa cousine l’avait misérablement abandonnée en faite ! Elle éprouva de la ranceure en pensant à la séparation avec sa cousine. De la ranceuer, mélangé à de la mélancolie. Apres tous, Venus n’était pas si méchante dans le fond mais Pansy ne lui avait jamais pardonné de l’avoir laisser tomber.
Elle la suivit sans même tenir compte qu’elle bousculait des moldus. De toute façon, ça n’était que des misérables moldus. La rue dans laquelle sa cousine avait décidé de s’enfoncer était déserte, ce qui était mieux pour Pansy. Elles pourraient se ‘ parler ‘ sans que les oreilles indiscrètes de ses moldus s’en mêlent. Voyant que sa cousine faisait tous pour l’ignoré, Pansy décida de lancé une remarque :

- La lâcheté fait-elle oublier la politesse de saluer les gens ?

Elle n’avait pas lancé ça dans un ton jovial, mais sur un ton moqueur. Elle se souvenait pourtant en avoir lancé, des remarques à sa cousine sur un ton jovial mais tout ça, c’était bien entendu avant son départ.
Puis Pansy revenat de son souvenir à cette rue étroite et sombre. Pansy fixait à présent sa cousine, attendant de voir si elle allait se retourner et répondre.

Vénus entendit quelques pas deriere elle,elle n'eut pas le temps d'en faire davantage qu'elle entendit sa cousine lui poser une question d'un ton plutot moqueur.Elle se retourna et la détailla un peu,pansy lui ressemblait bien plus maintenant qu'avant !
Ele n'eut pas le courage de se disputer avec elle une fois de plus.

-Bien sur que non chère cousine,mais je me suis dit qu'à passé une mauvaine journée,autant essayé de ne pas l'empiré...
Que devient tu depuis le temps?

Vény se souvint des bons moment passés avec elle étant plus jeune,mais tout cela était du passé.Elle savait que sa cousine ne lui pardonerait jamais de l'avoir abandonné contre son gré.

Pansy regardait sa cousine comme à une certaine époque. Mais maintenant son regard n’était plus le même. Avant, elle exprimait un regard plus ‘ joyeux’ à la voir alors que maintenant…Ce regard avait durcit. De toute façon, ça avait été obligé qu’il change. On ne peut pas, d’un jour à l’autre vous laissez tomber et espérer qu’on portera sur vous le même regard.
Pansy décida de ne pas provoqué de dispute, ou en tout cas pas tout de suite. Pansy était plutôt fatigué ses temps si. Pourtant elle n’avait pas une vie spécialement agité, au contraire. Elle voyait de moins en moins de monde, elle se contentait de traîner dans les rues. Il lui arrivait même de penser que si sa cousine ne l’avait pas abandonnée, elles auraient put rires toutes les deux à ce moment au lieu de ce face à face froid, du moins pour Pansy.
Elle regarda sa cousine qui n’avait pas tellement changé. Pansy savait qu’elle par contre avait changé depuis tout ce temps…Puis elle répondit d’un ton calme mais pas très sympathique pour autant :

- Pas grand chose…Mais j’imagine que ma chère cousine doit être triste de revenir ici !

Pansy s’arrêta à cette phrase, s’apprêtant déjà à rajouter quelque chose alors que sa cousine n’avait même pas eut le temps de répliquer. Elle ne l’avait pas fais pour le simple et bonne raison qu’elle se demandait comment tout avait put basculer aussi vite avec sa cousine qui avait l’aire d’être rester la même au fond…

- Tu es revenu depuis longtemps ?Questionna Pansy.

Puis elle continua à fixé sa cousine, qui elle aussi était habillée de vêtements sombres. Ce qui n'étonna guère Pansy.

Vénus fixa pansy un moment avant de répondre,elle remarqua qu'après son avant derniere réplique pansy se retint d'ajouter quelque chose.

-Je ne suis pas si triste que cela d'etre revenu,mais il est vrai que la france me manque un peu.

Elle n'ajouta rien,ne sachant pas quoi dire d'autre.

-Non,je ne suis revenu qu'hier en angleterre.Je n'ai pas eu vraiment le choix d'emménagé ici,dans la hate je n'avais pas beaucoup de temps et il était très tard.
Je ne pense pas que tu m'aurais accueillit à bras ouvert après que mes parents m'aient faite devenir mangemorte,et surtout après avoir été exilé en france parce que je n'était pas aux normes de la grande famille de sang pur des Parkinson...

Vénus se tut,le souvenir de ses parents la menant de force au seigneur des ténebres,et son exil forcé lui donnaient envie de pleurer comme quand elle était enfant.

Pansy écouta sa cousine, en se demandant presque pourquoi. La seule explication qu’elle avait trouvée, c’était que c’était sa cousine malgré tous. Et elle le resterait surement toujours. Puis elle lança d’une voie tranchante :

- J’imagine que quand tu étais en France, tu as du bien vite oublier l ‘Angleterre.

Elle ne rajouta rien, elle retrouvait un goût de rancœur qui devint tristesse. Pansy continua ensuite d’écouter sa cousine. Non Pansy n’aurait pas accueillit sa cousine à bras ouvert, même si elle était devenue Mangemorte. Devenir mangemorte ne remplaçait pas ses années sans elle. Pansy advint presque à se demander pourquoi continuer à en vouloir à sa cousine, maintenant qu’elle était la et qu’elle lui disait qu’elle n’avait pas choisit de partir. Surment parce que de plein gré ou pas, elle était partit quand même et sa, Pansy ne l’oublierait jamais. Puis, elle dit d’une voie plus normale, toujours avec ce sentiment de ‘ tristesse ‘ :

- Pour moi tu étais aux normes de la famille Parkison…Avant ton départ bien sur !

Pansy n’ajouta rien. En regardant sa cousine, elle voyait de la tristesse chez sa cousine et décida de ne pas en rajouter une couche.

Vénus fut surprise du changement de ton de sa cousine qui était passé du mépris à la tristesse.Non elle n'avait pas oublié l'angleterre,la seule chose qui le lui rapellait était sa cousine pansy qu'elle n'avait jamais pu oublié.Elle n'avait jamais été non plus comme tous les autres parkinson,son comportement étant différent on l'avait un peu écarté.
Maintenant,rien ne la diférenciait plus par raport au autres mis à part son esprit qui était toujour resté libre et loin des mangemorts.
Malheureusement,loin de sa cousine aussi.Elle avait du réapprendre à vivre seule,sans attache dans un pays ou elle n'avait fait que voir le jour.
Etant française,elle avait du se meler à sa famille anglaise qui ne l'avait pas intégré plus jeune,et qui ne l'acceptait toujour pas.

-je n'ai jamais été intégré dans la famille,malgré mon sang pur,parce que j'étais française et que je n'avais pas toutes les meme idées que la famille.Depuis que mes parents m'ont expédié la-bas,j'aurais bien voulu revenir mais il était déja trop tard.Tu n'avais pas compris que je t'adorais et que je ne n'aurais voulu te quitter pour rien au monde.Arrivé la-bas,des partisans du seigneur des ténebres m'on pris en charge et m'on inculqué tout ce que je devais savoir sur les mangemorts pour que je puisse leur servir plus tard.

Vénus avança de quelques pas pour ce retrouvé face à sa cousine pansy.

Pansy fut étonné du discours de sa cousine. D’ailleurs, elle en fut presque touché. ‘ Presque ‘ parce qu’elle se demandait si elle pouvait pardonné à sa cousine aussi facilement. Même si d’apres ce qu’elle disait, elle n’avait pas choisit. ‘ Touché ‘ parce que sous ses aires ‘ durs ‘ et sans cœur, Pansy avait un cœur quand même. Il suffisait juste de le chercher un peu pour le trouver.
Contrairement à sa cousine, Pansy était d’accord avec les idées de sa famille. De toute façon, d’accord ou pas, elle avait été éduqué avec et Pansy voulait faire ‘ honneur ‘ à sa famille alors hors de question de les contredires.
Pansy regardait sa cousine s’avancer alors qu’elle ne fit rien. Elle resta sur place, perdu dans ses pensées. Elle avait peut être assez bavé comme sa…Mais Pansy aussi en avait souffert. Ca avait été dur pour elle de se séparer de sa cousine, ce qui l’avait rendit encore plus froide qu’avant. Pansy demanda juste :

- Et maintenant ?

Pansy ne laissa pas le temps de répondre à sa cousine quelle ajouta, toujours sur le même ton :

- Tu compte encore partir d’un jour à l’autre ?

Pansy regardait à présent sa cousine. Elle était un peu plus petite que Pansy alors que quand elles étaient petites, Vénus était le plus grande.

Vénus ne dit rien pendant un moment,elle ne savait pas vraiment si elle voulait repartir en france ou si finalement,elle ne préferait pas resté en angleterre et espéré se rapproché de sa cousine et oublié les rancoeurs provoquées par son départ précipité.
Finalement,elle décida que si elle pouvait retrouvé la complicité de sa cousine comme quand elles étaient petites,elle serait plus heureuse maintenant.

-Non.Comme je te l'ai dit je n'ai jamais voulu partir et me séparé de toi,mais une enfant de cet age là ne pouvait rien faire contre ses parents.
Maintenant que je suis de retour je pense que je vais resté ici,et si finalement rien ne change et que cela devient pire,alors je repartirais.Je ferais sans doute un long voyage dans le monde pour ne revenir jamais ici !

cela lui fit mal de dire qu'elle ne reviendrait jamais,mais il devait en etre ainsi.Sinon elle souffrirait toute sa vie pour quelque chose qu'elle n'avait jamais voulu.

Vénus marquait un point, une enfant qui avait son age à l’époque ne pouvait rien contre ses parents. Pansy sentit comme de la tristesse en sa cousine. Etait-elle vraiment triste d’avoir été séparer d’elle ? Vénus était vraiment partit contre son gré ? On lui avait toujours dis le contraire. Sauf que maintenant qu’elle voyait sa cousine, tous ses bons souvenirs avec elle lui revenait. Pansy regarda Vénus et soupira discretement. La question était : Pansy allait-elle pardonné à sa cousine ? Maintenant qu’elle la revoyait, elle avait l’impression de retrouver sa cousine d’avant. Elle avoua juste, avec beaucoup de tristesse dans la voie :

- Moi non plus je n’est jamais voulu me séparer de toi.

C’était sortit tout seul, peut être parce qu’elle en voulait beaucoup moins à sa cousine tout d’un coup. Pansy savait que si elle continuait de voir sa cousine, elle ne voudrait pas lui faire la tête. Apres tout, pourquoi ne pas essayer de faire la paix ? C’est vrai qu’elles avaient passer des mauvais moments à cause de l’autre mais elles en avaient aussi passés des tres bons. Elle fixa sa cousine d’un regard un peu plus doux qu’au début. Par contre, si jamais elle repartait encore une fois, Pansy savait qu’elle ne lui pardonnerait vraiment jamais. Elle ne pouvait pas risqué de s’attaché de nouveau pour tout reperdre.

Vénus vit les émotions et les sentiments qui passaient sur le visage de pansy,elle y vit des interrogations,de la tristesse,de la douceur et enfin de la colère.
Elle esperait que pansy et elle meme pourraient enfin redevenir aussi complice qu'avant.

-Cousine comme avant?

Vény espera que pansy répondrait par l'afirmatif,et qu'elles puissent ainsi reconstruire se qui avait été détruit par sa "famille" étant plus jeune.Elle avait envie d'invité sa cousine à déjeuné chez elle,pour qu'elles puissent parlé librement et réapprendre à se connaitre chacune l'une l'autre.Il faut dire aussi que débuté une conversation ainsi dans la rue,était fatiguant pour les jambes qui commençait à s'engourdir et à la faire souffrir.

Pansy ne fut pas étonné cette fois si de la proposition de sa cousine. Maintenant, Pansy s’interrogait sur ce qu’elle allait répondre. Oui, Elle voulait que sa cousine et elle redeviennent comme avant. Mais d’un côté, c’était un peu trop facile. Au bout de quelques secondes de réfléction, Pansy se décida enfin à répondre :

- Cousine comme avant.

Ca sera surment dur, mais Pansy avait décider de faire un effort. Elle était toujours un peu méfiante. Elle ne voulait plus qu’elle parte quelque part alors qu’elle venait de la retrouver. Cette discution l’avait tellement absorbé qu’elle ne réalisait plus qu’elle était dans une rue. Elle s’en rendit compte quand elle aperçut un moldu passer. D’ailleurs, Pansy le regarda avec un regard de dégoût. C’était plus fort qu’elle. Elle n’aimait pas les moldus. Les seules dignes de respect était les sangs-purs et encore…Tout dépendait de quels sang-purs. Puis elle regarda sa cousine.

Elle vit un moldu passé,et pansy faire une grimace de dégout.Comme beaucoup de sang pur elle ne les aimaient pas le moins du monde.
Vénus fit comme si elle ne l'avait pas vu,et se tourna dans la direction de sa maison.
Elle regarda le paysage au loin,les jardins fleuris tipiquement moldu et les maisons de styles sorciere et moldu confondu.Elle trouvait les maisons sorciere plus jolie,et plus économe aussi.Il n'y avait qu'à faire quelques sortileges,et les pieces s'agrandissaient,se rajoutaient...

-Veux tu venir chez moi et prendre le thé?
Nous serions beaucoup plus confortable la-bas,qu'ici ou les voisins nous espionnent,et ou il n'y a rien pour s'installer convenablement.

Vénus fit un mouvement de tete discret en direction de la maison,afin de l'incité à la suivre.

Pansy vit l’ignorance dont faisait preuve sa cousine, surment parce qu’elle ne dégoûtait pas les moldus. C’est surment des choses comme sa qui lui avait valu un allé directement pour la France, pays que Pansy détestait depuis le départ de sa cousine là-bas.
Pansy trouvait la proposition de sa cousine très intéressante. Et puis la au moins, elle serait tranquille dans le sens ou elle n’aurait pas la vue de ses misérables moldus à devoir supporter. Rien que tous ses jardins, ses maisons typiquement moldu lui infligeait un certain goût de dégoût. Puis Pansy répondit, regardant sa cousine, qui était une vue bien meilleure que ses moldus :

- Bonne idée chez cousine.

Puis, Pansy regarda dans la direction qu’indiquait Vénus. Elle était peut être encore un peu froide avec sa cousine mais c’était dur de changer comme sa, surtout pour une personne comme Pansy. Pansy avait toujours été froide avec presque tout le monde, sauf quelques rares personnes.
Pansy elle aussi commençait à fatiguer au niveau des jambes et fut heureuse à ce moment de l’idée, lancé par sa cousine.

Vénus remarqua l'attitude encore froide de sa cousine,on ne change pas les habitudes comme ça, du jour au lendemain.
Elle non plus ne lui avait pas sauté dans les bras quand elle l'avait vu.
Leurs attitudes étaient vraiment semblable,en étant quand meme un peu diférente.Vénus fit quelques pas en direction de sa maison et se tourna vers pansy.

-tu me suis?
Je te ferais faire une petite visite si tu le désire.

Sa maison n'étaient certe,pas aussi grande que certains manoir de familles de sang pur,mais elle lui convenait parfaitement pour elle seule.
Eventuellement,avec un fiancé si il apparaissait dans peu de temps.

Pansy regarda la petite rue au début tranquille se remplir de plus en plus de moldus. Et c’est à ce moment qu’elle fut satisfaite de ne pas devoir rester dehors. Ce mêler aux moldus n’enchantait guère Pansy, elle trouvait sa dégradant. Voir un ou une sorcière de haut rang ou de noble famille, devoir ce mêler aux moldus était affreux pour Pansy qui essayait de toujours s’éloigner des moldus.
Puis Pansy retourna le regard sur sa cousine et hocha la tête. Puis, elle répondit quelques secondes après avoir hoché la tête :

- Oui, oui.

Pansy se doutant que la maison de sa cousine ne pouvait pas être comme les manoirs de la famille Parkison, elle répondit, avec curiosité :

- Si tu veux, je verrais dans quoi tu a décidé d’habiter.

Puis Pansy regarda encore toutes les maisons qui se trouvèrent autours d’elles. Aucun manoir digne de ce nom ne se dressait fièrement. Et cela n'étonna guère Pansy.

-Peut etre que je passerais au manoir,si l'envie me prend ou si je ne suis pas loin.

Cela n'arriverait sans doute pas avant un moment,sauf si pansy lui demandait elle meme de venir la voir.
L'idée de remettre les pieds dans le fameux manoir ne l'enchantait guère,mais elle était prete à y aller s'il le fallait.
Vénus ne voulait pas gaché la complicité renaissante qui commençait avec sa cousine.
Malgré l'attitude froide qu'elles avaient encore,les efforts qu'elles avaient faits chacune pour en arivé la,étaient considérable.

-A t-il changé depuis mon départ?Est-il toujour aussi sombre et lugubre?

Les seules pieces qui étaient à peu près lumineuse dans ce manoir étaient surtout son ancienne chambre et celle de sa cousine.
Peut etre quelques autres pieces y étaient elles aussi,mais on pouvait les compté sur les cinq doigts de la main.

Pansy savait ce que revenir au manoir signifiait pour Vénus. Ca ne serait surment pas facile pour elle d’ailleurs. Mais si jamais elle venait, Pansy serait heureuse de l’accueillir. Même si elle ne le disait pas ouvertement. Pansy ne disait rarement ce qu’elle pensait de ‘ gentil ‘. Son attitude était moqueuse et froide. Et même, on la considérait comme une petite fille pourrit gâté, ce qui n’était pas faux. Pansy était bien une fille pourrit gâté par ses parents.
Pansy avait toujours caché ce qu’elle ressentait, que se soit amour ou amitié, sauf quand la personne avait un problème ou était ‘ mal ‘.
Puis, Pansy, en faisant un effort considérable par rapport au début plutôt glacial et tranchant répondit :

- Si jamais l’envie te prend de passer…Hésite pas.

Puis pansy pensa au manoir. Ce grand manoir, impressionnant noir et lugubre. Oui, le manoir avait toujours été lugubre et froid, sauf quelques rares pièces. Mais c’était l’ambiance des grands manoirs aux sang-purs. Il était pourtant très bien entretenu par des Elfes de maison plutôt nombreux d’ailleurs. Mais Pansy c’était habitué à cette ambiance. On retrouvait un peu la même dans la salle commune de serpentard. Pansy répondit donc :

- Il n’a absolument pas changé. Il est toujours aussi…sombre et lugubre.

Le manoir était ancien mais jamais il n’avait changé. Enfin d’après ce qu’on avait dis à Pansy, il n’avait jamais changé.

Vénus sourit à sa cousine,pas un sourire ironique ou sarcastique comme elle en avait l'habitude.
Un vrai sourire,joyeux et heureux.
Il y'avait au moins une piece qui avait changé,elle en était sur.
La chambre qu'elle avait étant enfant,elle devait etre devenu un piece poussiereuse,remplie de saletés diverses,piece ignoré.
Elle y avait passé de bon moment,tantot joyeux,tantot triste.
Maintenant,elle préferait s'habiller de sombre dehors,et etre de couleurs pale chez elle.
Sa maison ne comportait aucun grand souvenir joyeux,auquel elle tenait.
S'était juste sa maison,triste et seule parmi les autres.
Elle sortit la clef,deverouilla la porte manuellement,et désactiva le sort qu'elle avait posé avant de sortir pour évité toute intrusions non voulue.
Vény invita ensuite pansy à entré,et referma la porte après que celle ci se soit arété juste derriere elle.

Pansy remarqua le sourire, changeant de sa cousine. Ca n’était pas la premiere fois qu’elle le voyait mais elle l’avait presque oublié depuis tout ce temps.
Eh oui, c’est sourires étaient donnés de la part des deux jeunes filles durant leur jeunesse. Mais apres leurs séparations, leurs sourires, l’une envers l’autre avait bien changé. Il était devenut moquerie, ironique ou encore sarcastique.
Pansy elle, n’avait pas encore sourit mais c’était Pansy. Pansy avait suivit Vénus jusqu’à chez elle et était désormait entré. On voyait qu’elle n’était pas la depuis longtemps. La maison était simple et plus éclairé que la manoir. Elle était un peu triste mais pour quelqu'un comme Pansy, elle la trouvait…Normal. Le manoir n’était pas spécialement plus joyeux, au contraire. Il était plus lugubre même mieu entrentenu. Pas un grain de poussiere ne trainait jamais dans le manoir. Le travaille des Elfes de maison était très efficace. Tout en regardant autour d’elle, Pansy demanda :

- C’est donc ici que tu vie ?

Pansy regarda sa cousine, une fois qu’elle eut fini de regarder autour d’elle.

Vénus n'avait pas quitté des yeux sa cousine quand elle était entré.
Elle l'avait vu regardé autour d'elle et lui avait posé une question.

-Oui c'est ici,je vais surement resté quelques temps dans celle ci et acheté un manoir à Londre pour y vivre plus tard.
Je prendrais celle ci comme maison de campagne et l'autre comme manoir principal.

Elle alla s'installé sur l'un des deux fauteuils en entrainant Pansy,et fit apparaitre du thé,deux tasse,du lait et du sucre sur un plateau en argent qu'elle posa sur la petite table mise à disposition entre les fauteuils,la cheminée et le divan.
On aurait dit que rien ne l'intéressait.
Vény ne savait plus trop quel sujet employé avec sa cousine,elle paraissait si froide par rapport à sa jeunesse...

Pansy avait écouté sa cousine et elle trouvait que l’idée de prendre un manoir après et de faire de cette maison de campagne lui paraissait plutôt bonne. Elle répondit juste :

- C’est une bonne idée.

Elle au moins avait des projets. Pansy ne pouvait pas en dire autant. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle allait faire ou devenir. Elle devrait surment ce trouver un fiancé, à moins que ses parents ailles déjà décidés pour elle. Puis elle regarda sa cousine faire apparaître le thé et tous ce qu’ils fallaient avec. Pansy avait regarder la cheminée tout d’abord puis avait regarder sa cousine. Elle ignorait que dire, sans parler du départ en France de sa cousine. Il avait du ce passer tans de choses ! Mais Pansy se dit qu’il était plus prudent d’éviter les sujets qui pourraient provoquer des disputes. Normalement, c’est justement les sujets qu’elle aurait prit mais elle ne voulait pas de dispute, pas avec sa cousine qu’elle venait de retrouver. Mais elles ne s’étaient pas vues depuis tellement longtemps…Pansy voyait que sa cousine était rester la même et pourtant, elle avait l’impression de la redécouvrir.